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L'art de perdre Lun 27 Juil - 22:15
| NEJMA SEYRIG
the art of losing’s not too hard to master though it may look like disaster nom complet ◇ Nejma Seyrig
Il s'agit de noms empruntés, elle trouvait que cela accrochait l'oreille, que cela participait à construire sa marque, son mythe. Nejma. Le fantasme de l'orient dans un prénom. La lueur qui s'allume dans les yeux des autres lorsqu'elle parle de ses origines, l'impression ridiculement érotique que cela leur laisse, lui a fait penser à ce prénom qui signifie "Etoile" en arabe.
Seyrig. C'était le nom de son premier amant lorsqu'elle devint courtisane et abandonna sa vie passée. Ce jour-là, elle devint quelqu'un d'autre, une image, un protée qui change de forme au gré des rencontres. date et lieu de naissance ◇ Ras-el-Ma, 1914. Le lieu est sûr, la date ne l'est pas. Curieusement, ce n'est pas de son fait, elle-même n'a jamais su l'année de sa naissance, faute d'inscription dans un registre. . âge ◇27 ans. état civil ◇ Elle aime à dire que son coeur appartient au plus offrant. Il fut un temps où elle était maitresse des hommes et de femmes riches de Paris et d'ailleurs mais depuis qu'elle est devenue fortunée elle-même, elle entretient davantage qu'elle n'est entretenue. occupation ◇ créatrice de mode et couturière. Elle n'a jamais nourri de passion particulière pour la couture ou la création, c'était simplement ce qu'elle savait faire de mieux et ce qui lui a permis de sortir de la misère et de la dépendance. Avant cela, elle était courtisane, c'est par ses relations et les passions inspirées qu'elle a pu financer son entreprise. Une entreprise fructueuse qui lui a permis d'échapper à sa condition.
Certaines de ses créations sont distribuées au Bon marché mais son activité est principalement constituée de commandes de client-e-s.
organisation(s) ◇ Elle n'a que peu d'estime pour ceux qui luttent contre le pouvoir institué ou pour ceux qui travaillent à le maintenir car ces gens-là, se dit-elle, sont motivés par leurs propres intérêts. Mais ce que sa raison lui murmure, son coeur n'écoute. Elle a récemment choisi de placer l'argent qu'elle possède maintenant en abondance dans les actions de l'Ordre du plomb. Ce sont de petits placements, rien qui n'attire l'attention. Elle travaille également à élaborer une technologie permettant de filtrer l'air corrompu du Smog, rien n'a encore été mis au point mais cela occupe maintenant une bonne partie de ses soirées.
Malgré tout, Nejma n'assumerait aucune affiliation qui menacerait son commerce. Elle ne connait aucune allégeance, ne trempe dans aucune affaire trouble. Elle balaie toute allusion, tout soupçon d'un revers de main...ou par d'autres moyens bien plus persuasifs. groupe ◇cuivre. En son for intérieur, Nejma ne soutient pas le pouvoir en place. C'est viscéral, un élément de l'ordre de l'instinct, qu'elle a peine à expliquer. Elle sait que tout pouvoir est destiné à décliner et à périr. La révolution avortée de Garnier en est la parfaite illustration. Elle a vu la misère et la colère en Algérie, elle a vu ce que cela pouvait produire, elle sait que ce n'est qu'une question de temps avant que l'empire ne s'ébranle. Lorsque cela produira, elle sera du côté des vainqueurs. coups du sort ◇ acceptes-tu de soumettre ton personnage à d'éventuels coups du sort ? Oui, c'est le mektoub de toute façon. faceclaim et crédits ◇ Imaan Hammam - lux aeterna & tumblr
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Il s'agit ici de nous présenter un peu plus ton personnage : libre à toi de rédiger ces réponses, de le faire sous forme de liste, ou encore de faire répondre le personnage - selon tes préférences. Pas de longueur requise pour cette partie.caractère ◇ Dévouée. Elle ne se passionne pas facilement mais lorsqu'elle aime, elle aime furieusement. Elle a appris à aimer la création, à aimer ce qu'elle fait et se voue maintenant corps et âme à son oeuvre. On ne peut pas en dire autant pour les hommes et les femmes. - Spoiler:
et les non-binaires
Déformation professionnelle liée à son ancien métier sans doute. Curieuse. Nejma a la soif de savoir et de connaitre, elle fréquente tout type de personne, tout type de milieu, s'intéresse à tous les domaines. Elle nourrit un intérêt particulier pour l'Art dans son ensemble, source d'inspiration et possiblement de travail. Déterminée. Elle est dotée d'une force de caractère certaine qui lui a permis de survivre et qui lui permet de mener sa barque encore aujourd'hui. Elle goûte peu la contradiction et il est fort peu aisé de la faire changer d'avis mais on peut toujours s'y risquer. Chaleureuse et sociale. Avec le temps, elle a appris à maitriser l'art de la conversation. Elle sait mettre à l'aise son interlocuteur quand besoin est, principalement par l'humour, en le flattant ou en lui faisant parler de lui-même/elle-même. C'est une qualité particulièrement utile pour les affaires mais qui ressort moins dans ses relations plus personnelles. Fière. Nejma n'aime pas que l'on remette en question ses choix et ses décisions, et n'avoue que très rarement lorsqu'elle a tort. Ne pas la piquer pas dans son ego, au risque de provoquer des crises désastreuses. Inadaptée Elle a l'impression constante de ne pas être à sa place, de ne pas appartenir au monde qui est le sien à présent. Insaisissable. Elle ne livre ses sentiments et ses pensées à personne, si ce n'est elle-même. Tout le personnage qu'elle a construit est un rempart presque imprenable pour autrui. Les artifices qu'elle utilise pour se dissimuler derrière ne trompent personne, pourtant, elle reste difficile à cerner. Contrôle. Elle a besoin de maitriser chaque aspect de sa vie pour se sentir en sécurité. Elle analyse, filtre, ponce chaque pan de son existence : son corps, son discours, son image, ses créations. Seules ses addictions lui offrent une fenêtre de relâchement. Anxieuse. De son passé, elle a conservé l'angoisse de la pauvreté, la peur de tout perdre du jour au lendemain. Cette angoisse fut si prégnante, si profondément ancrée en elle, qu'elle devint son principal moteur. L'ambition et l'opportunisme n'en sont que des démembrements. Vague à l'âme. Si on soustrait tout le bouillon de sentiments qui ont façonné sa personnalité, sinon le vide, reste la tristesse. La tristesse, tout le temps. Cela l'aspire chaque jour un peu plus, irrémédiablement. A cela, se mêle la nostalgie, le manque constant du soleil d'Oran, de l'horizon, de sa mère, de son pays. place en société ◇ A sa naissance, elle n'était rien. Aujourd'hui, son nom traine sur toutes les bouches délicates de Paris. La gloire a amené la richesse, la richesse s'est accompagnée de la sécurité et de l'indépendance. Elle se dit libre d'esprit mais revendique en public son allégeance et son admiration pour l'Impératrice. Malgré tout, sa réussite ne parvient pas à cacher ses origines misérables. C'est imprimé sur sa peau, cela s'entend dans sa façon de parler, dans sa façon de se tenir, dans son manque de culture classique. Le mépris et la méfiance débordent du regard et des paroles de ceux dont elle a forcé la classe. Elle le sait, son nouveau royaume est fragile. Mais elle préférerait voir Paris brûler plutôt que le perdre. réputation ◇ La maison Seyrig est réputée dans tout Paris, toute femme aisée qui se respecte possède une robe estampillée Seyrig. La reconnaissance de la maison repose en grande partie sur le personnage qui l'incarne, Nejma.
Elle est de toutes les soirées, de tous les événements mondains. Il faut qu'elle soit vue, il faut qu'elle existe dans la vie publique. Elle a commencé en habillant ses ami-e-s et ses amant-e-s, elle travaille maintenant pour les plus grosses bourses de Paris.
Elle a réussi à atteindre une position assez confortable pour que son passé de courtisane ne l'entrave pas. Cependant, sa consommation de drogues, qui est un résidu de sa vie passée, la ramène souvent dans les lieux qu'elle fréquentait jadis. lieu(x) fréquenté(s) ◇ Les appartements qui se trouvent dans le Marais où toute la création prend forme et corps. Elle espère bientôt déplacer ces bureaux avenue Montaigne. Sa maison nouvellement acquise qui surplombe Ménilmontant, non loin du Père Lachaise. Un lieu populaire, elle vous dira qu'elle apprécie le calme de l'ancien petit village mais c'est qu'elle se sent plus à l'aise parmi les ouvriers et les pauvres du quartier qu'au sein de l'élite de la capitale. On la verra aussi aux puces de Saint-Ouen et de Montreuil, à l'affût de tout tissu digne d'intérêt ou en quête d'inspiration. Il lui arrive de se rendre au Bon marché où certains de ses vêtements sont vendus mais cela reste rare. Il lui arrive de se rendre à l'Apollonide lorsque le coeur l'en prend. Elle n'est pas franchement amatrice de ce qui s'y vend mais cela ne l'empêche pas d'apprécier les créatures qui s'y produisent. Peut-être est-ce aussi une façon de se rappeler d'où elle vient...pour ne jamais y revenir. journée type ◇Nejma a livré les détails de sa routine quotidienne dans un entretien pour le Miroir. Un assemblage de banalités qui ne sauraient en rien illustrer la réalité de son quotidien.
Les matins de Nejma ne sont jamais sereins, c'est sans doute le moment de la journée où elle se sent le plus vulnérable, le plus en proie à ses psychoses. C'est ce qui explique qu'elle déteste dormir, elle ne sommeille jamais que quelques heures par nuit. D'aucuns diraient qu'elle est insomniaque mais ce n'est pas le cas, ce n'est pas une tendance naturelle mais forcée. Toute la nuit, elle s'occupe, par le travail ou le loisir. Ainsi, lorsque le matin arrive, elle a l'impression que sa vie a du sens, qu'elle ne s'est jamais arrêtée, qu'elle ne s'arrêtera jamais. Elle aime attendre la lumière du jour depuis sa méridienne, devant sa porte fenêtre, à l'étage de sa maison bourgeoise de Ménilmontant. Sa journée ne commence que lorsqu'elle choisit de lancer sa routine, réglée comme du papier à musique.
Alors elle répète les mêmes gestes de façon mécanique. Elle prend un bain dans le silence le plus absolu, l'eau y est tellement chaude qu'elle brûle sa peau. Sa peau attendrie, elle en devient plus facile à épiler : elle ne tolère sa peau que complètement nue et parfumée. Elle brosse ses dents, coupe ses ongles, applique quelques soins onéreux trouvés chez un apothicaire et se maquille. Elle a conservé les habitudes héritées de sa mère, un peu de khôl sur les yeux, un touche de rouge sur les lèvres et quelques autres apparats pour souligner sa beauté sans pour autant la rendre désirable ou visible, c'est un privilège qu'elle réserve à ses créations.
Dans sa chambre, elle s'habille avec des vêtements adaptés à sa journée et choisis la veille. Elle déteste s'habiller et c'est cette aversion qui est sa source la plus abondante d'inspiration pour ses vêtements. Les matins se closent dans la salle à manger, où on lui lit le journal pendant qu'elle boit son thé et mange son pain à l'huile d'olive avec du miel ou de la confiture.
Le reste de la journée est meublé par la création et la couture, les rendez-vous avec ses client-e-s et ses fournisseurs, la visite de son atelier. Depuis quelques mois, les appartements du Marais accueillent de façon ponctuelle ses défilés, des événements intimistes qui s'assimilent à de véritables prestations artistiques réservés à quelques privilégiés. Le rythme de ses journées devient alors frénétique et entretenu par sa consommation de drogues.
C'est le soir qu'elle s'éveille, elle pense plus, bouge plus, ressent plus. C'est là que sa consommation de substances est au plus haut. Selon ce qu'elle prend, tout s'exacerbe ou se tarit. Elle s'enivre pour supporter la compagnie de gens qu'elle déteste ou qui l'ennuient, pour déployer sa créativité, pour ne pas s'endormir. Souvent, sa conscience s'embrume et elle ne sait jamais vraiment à quoi ressemblent ses nuits. rapport au vif argent ◇ Complexe. Comme tout ce qui se consomme, se fume, se boit, s'injecte, Nejma entretient une fascination et un très léger penchant pour le vif argent. En consommer est comme une démonstration de pouvoir à ses yeux, signifier qu'on est en haut de la chaîne. Néanmoins, toute la culture et l'obsession qui existent autour de la substance la répugnent.
spiritualité ◇ Née dans un pays de culte musulman, elle a suivi les préceptes et les rituels de cette religion pendant les premières années de sa vie. Elle a quitté la religion -ou peut-être que la religion l'a quittée- dès lors qu'elle a commencé à faire commerce de son corps, faisant d'elle une femme impure aux yeux des membres de sa communauté. Elle a préféré l'impureté à la pauvreté. A présent, elle n'a de dévotion que pour elle-même. - Citation :
- Un souffle chaud trouble les rues de Paris. Il chamarre les étoles, imprime les tissus et structure les silhouettes. Dans le gris de la capitale, des figures excentriques se découpent et excitent la curiosité des parisiens, on ne voit qu'elles depuis quelques mois, ce sont les créations de la maison Seyrig. Nouvelle arrivée sur la scène parisienne, Nejma Seyrig s'est déjà taillée une place de choix dans le monde de la couture grâce à ses créations originales et à son regard novateur. Si l'on perçoit les influences orientales de sa créatrice, la maison a su s'adapter aux goûts et aux attentes des parisien-ne-s. Madame Seyrig mise sur le confort des vêtements plutôt que sur leur aspect purement esthétique, même si elle affirme que l'élégance et le raffinement sont au coeur de son travail. Elle définit le "mouvement" comme sa marque de fabrique, l'élément qui innerve toutes ses créations. On a hâte de voir à quoi sa prochaine collection ressemblera, en attendant vous pouvez retrouver certaines de ses créations au Bon Marché.
Extrait du journal le Miroir, 1939. Extraits de conversation "Je suis née dans un bain de mercure. La ville dont je suis originaire, parmi les plus riches d'Algérie, compte le plus gros gisement du pays. Mon père était mineur et nous vivions, avec ma mère, non loin de son lieu de travail. Le mercure était notre seule source de revenus, ma famille lui devait tout : la nourriture qui garnissait nos assiettes, le toit qui recouvrait nos têtes, l'éducation que je suivais.
Des milliers de vies sont encore étroitement liées à ce gisement, toute l'économie de la ville est alimentée par cette source de richesses si convoitée par la France. Le mercure est dans tous les esprits, dans toutes les bouches, dans tous les corps. Pour nous autres, algériens, cela reste une abstraction, une simple idée qui nous permet de vivre. Mais j'ai vu les français, ceux qui sont venus chercher les hommes et les femmes de la ville pour exploiter la mine, ceux-là sont fous. Ils sont pris d'une fascination malsaine qui les a poussés à ravager une partie de l'Algérie. Son pays contre un peu de nourriture et un logement, voilà le marché que nous avons accepté des français.
Il ne fallut pas longtemps pour que la maladie ne prenne mon père. Les soigneur-e-s que nous pouvions payer ignoraient la nature du mal qui l'affligeait, mais ils savaient que mon père suffoquerait bientôt. On lui a recommandé l'air de la mer pour soulager la douleur en attendant la mort, c'est ainsi que nous sommes partis à Oran.
Il est mort rapidement, nous laissant, ma mère et moi, livrées à nous-mêmes dans une Oran immense et hostile. Alors à l'aube de mon adolescence, j'ai été contrainte d'abandonner l'école pour aider ma mère à faire vivre le foyer. Je suis devenue couturière pendant que ma mère revendait les pâtisseries qu'elle confectionnait à plusieurs établissements de la ville."
[...]
"J'avais peut-être 15 ou 16 ans quand je suis devenue courtisane. J'ai mis du temps avant de me faire une réputation à Oran, il a fallu apprendre, apprendre à se faire voir, apprendre à se tenir, apprendre à convoquer le mystère, le désir, apprendre à converser, apprendre à satisfaire.
Ma mère me trouvait déshonorante, impudique. Je me demande en quoi il est plus honorable d'être exploitée par un homme qui vole le fruit de mon travail tous les jours alors que faire commerce de mon corps me permet d'en être le maitre et de mieux gagner ma vie. Ironie du sort, mon premier véritable client fut Adolphe Seyrig, patron de l'atelier de couture dans lequel je travaillais. J'ai appris une bonne partie de mon métier avec lui. "
DÉPART D'ORAN
La baie d'Oran. La blancheur de la ville. Le bleu de la mer Méditerranée. Le théâtre de son enfance. Les journées sur la plage et les prairies verdoyantes de l'arrière-pays. C'est tout ce qu'elle avait toujours connu. Tout ce qu'elle laissait derrière elle. Son passé matérialisé dans cette ville. Sur le pont du bateau qui s'éloignait de l'Algérie, de son pays, elle sentait une partie d'elle-même s'éteindre à mesure que la côte s'éloignait.
C'est certain, elle ne pourrait plus y revenir. Elle était déjà devenue étrangère.
PARIS
Elle n'avait vu et ne savait de Paris que ce que les photos, les français et les rumeurs disaient d'elle. Paris la belle, Paris la rayonnante. Paris, celle que le monde entier enviait. Paris, la puissante, qui imposait son joug à son Algérie natale. Toute sa vie, elle avait nourri une amère obsession pour cette ville qui avait tué son père et son pays. Paris n'était qu'un amas de ferrailles et de vieilles pierres recouvert de brume. Il n'y avait rien de lumineux, rien de chaud, rien de précieux, rien de beau. Rien que Paris au sein sec, qui tuait ceux qui l'habitaient.
pseudo/prénom ◇ Camille. en quelques mots ◇ Je suis censée partir au Canada dans 6 mois, j'espère que ça se fera. Sinon, je parle un peu l'arabe et l'hébreu, j'aime le houmous, les webtoons, le cinéma, la déco et la photographie et smasher la patriarchy.
préférences de jeu ◇ Je devrais avoir un peu de temps les week-ends. Sinon, ça fait longtemps que j'ai pas rp...à l'époque j'étais plutôt team pavé mais c'est peut-être plus le cas maintenant. comment as-tu connu le forum ? ◇ Bazzart. Ca faisait peut-être 7 ans que j'avais pas été sur mon compte quand je me suis reconnectée. A la base, c'était pour voir les tutos photoshop puis je suis allée trainer dans le coin des forums rpg par nostalgie et je suis tombée sur le vôtre.
le mot de la fin ◇ En vrai, ça fait grave du bien de se remettre à écrire.
Dernière édition par Nejma Seyrig le Sam 1 Aoû - 17:36, édité 26 fois |
| Solal Rousseau
 
Messages : 249
Date d'inscription : 27/05/2020
Alias : indéfini
Portrait : a. perkins (léonce camus)
Activité : épistolairement vôtre
En société : romantique postier à l'air juvénile
Besace : des lettres d'amour
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Re: L'art de perdre Mar 28 Juil - 1:12
| BIENVENUE ! J'adore le métier, le fait qu'elle ait des origines étrangères, ta présentation perso (le houmous c'est la vie haha).  |
| Louise Favager
Messages : 43
Date d'inscription : 16/07/2020
Portrait : Sidonie-Gabrielle Colette
Activité : Psychiatre par vocation. Fortifier les fragilisés, les ébranlés ou les chancelants. Auditrice, collaboratrice ou assistante ; elle observe, écoute, examine, reformule. C’est sa fortune, son ouvrage : guider les émus, les inquiétés, les surexcités, les déchirés ou les ivres. Passionnée par l’engrenage des encéphales, elle cherche et spécule pour parvenir à concevoir ce qui chemine au cœur des ramifications nerveuses de chacun – car le smog, mes bons amis, n’est parfois pas dans le ciel.
En société : Eclairée pour certains, charlatan pour d’autres. Episodiquement ingénue ou au contraire tout à fait impassible. Louise est difficile à cerner, qui est-elle vraiment au fond ? Le sait-elle elle-même ? Respectée par ses clients et confrères, elle reste au demeurant discrète et en retrait. Il serait fâcheux de mettre en lumière ses propres problématiques.
Organisation(s) : Orme
Besace : Un carnet de note couvert d'une housse en cuir marron usé, si ouvert, rempli d'observations écrites en patte de mouche à l'encre noire. Le stylo utilisé est accroché par l’embout à la côte du carnet. Divers livres avec des annotations et des pliures à certaines pages, mais également quelques seringues et un flacon à peine entamé de pypthur…
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Re: L'art de perdre Mar 28 Juil - 1:12
| Hola, bonsoir à toi ! J'avoue que je t'avais déjà repérée avec ton "Phantom thread" héhé  Une très jolie plume et de bonnes idées par ici, hâte de lire la suite  |
| Alceste Huysmans
Administration
Messages : 1365
Date d'inscription : 17/04/2020
Alias : appo (il)
Facettes : philémon
Portrait : harry lloyd + corvidae
Activité : absurde activité qui semble se battre légalement contre le couvre feu. puisqu'il le faut puisque si un jour quelqu'un va dans l'espace il faudra bien lui servir de phare alceste allume et éteint les réverbères tous les jours à heures fixes.
En société : petit prolétaire fonctionnaire qui fait ce qu'on lui dit tête basse. longtemps surveillé puisque huysmans l'état a bien vite décidé en riant qu'il n'avait pas la trempe ou les idées de ses parents et l'a laissé seul dans ses miasmes.
Organisation(s) : et pourtant alceste une fois l'attention d'état perdue s'est offert à l'ordre du plomb puisqu'il n'avait rien d'autre à apporter que lui.
Besace : clés allen, chiffons, allumettes, journal de son père, plumes cassées et rêves qui n'en sortent jamais
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Re: L'art de perdre Mar 28 Juil - 10:30
| ravi de voir que tu as craqué pour imaam ! comme je te l'ai déjà dit ce personnage s'annonce plus que prometteur et je suis ravi de te dire officiellement bienvenue  |
| Invité
Invité
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Re: L'art de perdre Mar 28 Juil - 12:30
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| Bonnie Thellier
Messages : 971
Date d'inscription : 05/05/2020
Alias : Sha Lottie /elle
Portrait : Haley Bennett // likeanewday.
Activité : Bijoux aux bouts des doigts, délice des mains, l'œil pointu dans la structure du diamant, confectionner les plus beaux apprêts, amour de l'art et de la matière. Joaillière, Orfèvre
En société : Roturière des bas-fonds, clamant son innocence dans un silence. Activiste de l'ombre, portant à plus haute échelle l'humain que le dédain.
Organisation(s) : Assistante de l'ombre, dans l'Orme, elle voue entière espoir et confiance.
Besace : Quelques opales, des tiges d'argents, un paquet de gitanes pour abîmer un peu plus ses poumons.
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Re: L'art de perdre Mar 28 Juil - 17:15
| A toi aussi t'es dans l'incertitude du pvt  J'suis sensé partir dans 6 mois aussi, c'est marrant ! En tout cas, bienvenue avec cette douce fleur, j'ai lu en cachette vos petites histoires, et j'approuve tellement ! C'est des épices sous la langue que tu nous proposes là, quelle fraîcheur !  |
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Re: L'art de perdre Mar 28 Juil - 21:34
| Bienvenue parmi nous, contente que tu nous rejoignes si vite !  Et bon retour dans le monde du RP.  |
| Invité
Invité
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Re: L'art de perdre Ven 31 Juil - 23:39
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| Philémon McBurney
Administration
Messages : 487
Date d'inscription : 20/05/2020
Alias : appo (il)
Facettes : alceste.
Portrait : claes bang + jojofeels, miserunt & renegade
Activité : passionné et féru d'art depuis toujours - devenu restaurateur puis conservateur au louvre à grands renforts d'éloquence. la fortune familiale s'amenuisant petit à petit et l'art n'étant pas la priorité de l'empire, il a depuis peu inventé un stratagème lui permettant de trafiquer du vif argent en l'incrustant dans les oeuvres qu'il exporte.
En société : éminent membre de la haute, connu reconnu apprécié suivi et écouté.
Organisation(s) : il les connait toutes mais n'appartient à aucune.
Besace : fusains, tétines, listes à n'en plus finir, bouquins et carnets froissés.
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Re: L'art de perdre Sam 1 Aoû - 20:01
| bravo njema seyrig ! c'est un plaisir de te lire, une joie que tu retournes au rp et que tu nous ai choisi.e.s pour le faire ! ce personnage me plaît beaucoup, une couturière influente à paris qui s'engage sans vraiment s'engager c'est vraiment intéressant. l'extrait du miroir est trop bien, c'est trop bien que tu te sois emparée de l'imaginaire du forum comme ça. bref, tu es validée avec plaisir !!
Mirifique ! Tels ont été les mots de l'Impératrice à l'annonce de ton arrivée imminente à Paris. Comment ça, balivernes ? Ne penses-tu pas qu'elle est sait tout de nos moindres faits et gestes ? Tu serais surpris... Mais soit, passons aux choses sérieuses. Maintenant que tu es là, tu vas pouvoir remplir ton profil, histoire que l'on en sache un peu plus sur toi. Tu y découvriras d'ailleurs les champs présentation et journal de bord, que tu peux compléter pour les faire apparaître parmi les petites icônes sous ton avatar. Tu les vois ? Sache qu'en les survolant, tu pourras savoir à quoi chacune d'entre elle correspond. Mais revenons à notre journal de bord ! Tu pourras le créer ici-même ; c'est aussi là que tu pourras visiter ceux des autres membres. Et puis ensuite, tu pourras aussi aller jeter un œil aux organisations, surtout si tu fais partie de l'une d'entre elles. Peut-être que les autres personnes en faisant partie ont déjà commencé à manigancer des choses ? Sinon, n'hésite pas à te lancer et à proposer des actions collectives ! Tout ça t'a épuisé, j'imagine. Viens donc faire un tour à l' auberge, on y papotera à l'envie. Mais trêve de bavardages ! Quoi que tu décides de faire (ou devrais-je dire, quoique la ville fasse de toi), bienvenue à Paris !  |
| Invité
Invité
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Re: L'art de perdre Sam 1 Aoû - 22:05
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