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 mes bien chères sœurs. (agnès)

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Agnès Martel
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Agnès Martel
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Date d'inscription : 17/04/2020
Alias : terpsichore, Mariko (elle)
Portrait : Adèle Haenel (@ méphistophélès)
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Activité : Religieuse, sage-femme, faiseuse d'anges - la sororité en étendard.
En société : Clandestine au quotidien, on tolère sa présence dans le monde comme une étrangeté, et puis on hausse les épaules et on poursuit son chemin.
Organisation(s) : la Tour de Babel, une évidence.
Besace : Quelques tracts de la Tour, des baumes et onguents de chez Marguerite et Fernande, sa coiffe qu'elle ne porte pas en public.

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mes bien chères sœurs. (agnès)    Jeu 30 Avr - 9:58

agnès martel
- - -
A l'endroit où les fleuves se jettent dans la mer
il se forme une barre difficile à franchir
et de grands remous écumeux où dansent les épaves.

(L'écume des jours, Boris Vian)
nom complet ◇ Martel, un nom qui n'évoque que peu de choses chez ceux qui ne fréquentent pas les révolutionnaires ; ces derniers lui demanderont cependant si elle fait partie de cette même famille, et elle répondra un non bref et un sourire poli. Agnès, hérité d'une aïeule dont elle ne se souvient pas, mais ainsi va la tradition. date et lieu de naissance ◇ Née le 21 septembre 1914, et pourtant baptisée et communiée protestante bien des années plus tard car chez les Martel, on ne croît pas. âge ◇ Vingt-six ans qui pèsent parfois bien plus, tant ils semblent s'être perdus en de labyrinthiques chemins. état civil ◇ Agnès a fait, en s'engageant religieusement, vœu de célibat et de chasteté, même si la vie clandestine des sœurs a considérablement assoupli leur doctrine. occupation ◇ Sœur diaconesse, communauté féminine de sœurs protestantes vivant une vie œcuménique. Au sein du petit groupe, Agnès occupe une fonction de sage-femme, accoucheuse, faiseuse d'anges, s'occupant de toutes celles qui ne peuvent faire autrement que venir vers elle. organisation(s) ◇ A l'évidence, elle a intégré la Tour de Babel au moment de son arrivée chez les diaconesses, et occupe désormais un coin de la Cathédrale, où elle a installé son dispensaire petitement aménagé. groupe ◇ Étain, l'envie de construire un monde nouveau et à défaut, de rendre celui-ci un peu moins gris. faceclaim et crédits ◇ Adèle Haenel (par méphistophélès).
caractère ◇ Il y a d'abord, dans le regard d'Agnès, une détermination féroce, du genre que l'on ne saurait contredire. Non pas qu'elle fasse peur de quelque manière, mais on ne peut que la croire quand elle lâche enfin une phrase, des mots que l'on sent pesés chacun, un par un, comme pour être bien certaine de ce qu'elle veut dire par là. Autrefois, on disait qu'elle était une gamine timide, cachée entre les jupons d'une sœur aînée et d'une cadette volubile, et elle en a gardé aujourd'hui un goût certain du silence, facilitant sans doute la vie monacale. Elle est pourtant loin d'être paisible, et à l'intérieur pourtant, on devine des vagues incessantes, ronflantes, parfois hautes, sombres et parcourues d'écume, quand le tumulte se fait plus fort. Car plus que tout encore il y a ses mains, ses pieds, son corps tout entier, qu'elle engage dans chacun de ses gestes comme si sa vie en dépendait. Elle s'anime alors toute entière, et seul le sens de l'accomplissement parvient à apaiser la houle et lui donner repos de son combat quotidien, qui pèse parfois bien lourd sur ses épaules encore frémissantes.

place en société ◇ La clandestinité ne laisse, généralement, que peu de place à la vie en société. Force est de reconnaître qu'Agnès, dès son franchissement des larges portes de la maison Martel, n'a fait que s'effacer, chaque jour un peu plus, de la surface du globe (ou tout du moins dans sa dimension officielle, mais n'est-ce pas celle-là qui compte ici ?). Si les gens de la rue ne sont pas des mieux vus, les fervents croyants le sont encore moins, tant et si bien qu'elle se dispense désormais du port de la coiffe quand elle s'aventure en dehors de la Cathédrale : on la verrait au mieux un couvre-chef loufoque, au pire un dangereux symbole. Sans même le vouloir, le fait même de son existence est devenue éminemment politique, et Agnès tente, tant bien que mal, de faire avec quand elle préférerait parfois, et pour de bon, se rendre invisible.

réputation ◇ Là encore, la vie qu'elle mène lui épargne une bonne partie des bruits de couloirs : quand on vit un culte que les autres répugnent, on n'a d'autre choix de se cacher. Elle n'en est pas pleinement exempte cependant, car sa pratique attise les curiosités, et les femmes qui la consultent ont vite fait de se passer le mot. Agnès s'en accommode bien, tant elle a vocation à accueillir toutes celles dans le besoin. Elle craint pourtant parfois trop d'attentions, les murs ont des oreilles et elle ne tient à voir débarquer dans son sanctuaire ni la Maréchaussée - ou pire, les Mercuriens -, ni les visites familiales, qu'elle redoute autant, sinon plus. Les Martel sont en effet des gens de pouvoir, et si leurs accointances sont chez les révolutionnaires, ils n'en restent pas moins bien informés ; or Agnès, elle, ne tient pas à être retrouvée.

lieu(x) fréquenté(s) ◇ La Cathédrale est sans nul doute votre meilleure chance de la trouver. Là, entre deux draps d'un blanc passé, elle a aménagé son modeste dispensaire. Si l'ensemble est spartiate, elle parvient tout de même à y procurer des soins convenables. La légende dit même qu'une somptueuse tapisserie aux fils d'or lui sert désormais de tapis d'accouchement (mais il faut se souvenir alors les légendes aiment à enjoliver les histoires simples). Si Agnès n'est pas là, alors c'est peut-être qu'elle est dans les faubourgs, distribuant tracts, prêchant pour sa paroisse (au sens le plus littéral du terme), rendant visite aux femmes qu'elle connaît. Parfois encore, on la voit s'aventurer du côté de l'île de la cité où, dit-on, une maison close fait occasionnellement appel à ses services. Mais là encore, les rumeurs vont bon train, et il peut s'avérer difficile de démêler le vrai du faux.

journée type ◇ Encore une fois, il est assez peu risqué d'imaginer qu'elle débute à Notre-Dame, par la prière, là où elle se finira également. Dans d'autres pratiques spirituelles, on appellerait ça méditation, pour elle, c'est un simple temps de réflexion et de pause du corps et de l'esprit ; ce sont par ailleurs les deux seuls répits qu'elle s'accorde dans la journée. Le reste du temps est partagé entre l'étude (elle lit la Bible bien sûr - un exemplaire sauvé par on ne sait quel miracle - mais se plonge aussi dans des ouvrages de médecine et d'anatomie), la présence sur le terrain et l'accueil à Notre-Dame. L'un a d'ailleurs tendance à supplanter les autres dès la première urgence venue, et il lui faut parfois veiller jusqu'à tard, à la lueur d'une chandelle, pour finir la lecture d'un chapitre, tandis que ses paupières battent l'extinction des feux.

rapport au vif argent ◇ Agnès a entendu le mot bien sûr, et plus d'une fois. Combien de femmes le lui ont demandé, réclamé, espérant voir tous leurs maux solubles dans quelques gouttes du précieux métal ? Elle essaie de ne pas trop y placer d'espoir, car Agnès est pragmatique : elle sait bien que ce ne sont pas ses patientes qui en bénéficieront, quand bien même il aurait les vertus qu'on lui prête. Il y a bien sûr cette envie d'y croire, quelque part au fond d'elle, mais l'espoir lui est depuis longtemps difficile, elle qui lui préfère l'immédiateté de l'action.

spiritualité ◇ C'est une chose étrange que la croyance, car on peut en être dépourvu toute une vie jusqu'à ce qu'un rien vienne l'éveiller. Peut-être a-t-elle toujours été là, comme une petite chanson lointaine, qui n'attendait que d'être écoutée. Ce n'est jamais qu'un conte comme les autres, si l'on y pense, et Agnès a toujours aimé les histoires. Et puis il y a eu ce jour sept ans plus tôt, ce jour où l'une de ces femmes vêtues de longues robes bleues, croisées à de nombreuses reprises sans jamais s'attarder, l'a trouvée inconsciente - de faim ou de froid ou qu'importe en réalité - et l'a emmenée avec elle. C'est là, pour la première fois depuis des années, qu'elle s'est sentie vivre plus fort, portée non pas par la foi, mais par le sentiment plus puissant encore d'un idéal partagé. S'il faut être honnête, ce n'est pas tant Dieu qu'elle chérit, mais ce que l'idée de lui rend possible.

Il y a des mots que l'on ne connaît pas, que l'on ne connaîtra peut-être jamais, et qui pourtant semblent concentrer en leurs quelques lettres l'essence même de nos vies - comme s'ils avaient été faits pour ça. Si l'on devait en choisir un, pour Agnès à ce jour, on déciderait sans doute de s'arrêter sur le mot sororité et ses quatre syllabes roulantes, qui tracent ensemble la ronde des figures qui l'ont faite qui elle est.
Pour raconter son histoire, ne faudrait-il alors pas s'attacher à narrer celle de toutes ces autres femmes ?


(sœurs de sang) L'histoire commence chez les Martel, dans une maison bourgeoise du beau Paris. Agnès est fille d'un couple d'horlogers qui ont réussi : à lui les mécanismes, à elle les rouages du commerce. Autrefois engagés politiquement, on soutient aujourd'hui ici le plomb sans trop oser s'y montrer, car on est désormais, semble-t-il, trop attaché à un confort durement acquis. Les idéaux de jeunesse dilués dans l'apparat et les costumes trois-pièces, voilà qui fait bien des ravages. Elles sont au nombre de trois, les filles Martel : Hélène l'aînée, Agnès la benjamine, Lison la cadette (et c'est ici que l'on s'interrogera sur l'absence d'un équivalent féminin pour le terme fratrie, comme si cette relation était l'apanage des hommes). C'est un monde de filles que dis-je, un monde de femmes, qui se déploie chez les Martel, tant la maison est régie d'une main de maîtresse par une mère de poigne, et chacune d'entre elles se glisse peu à peu dans la place qu'on lui désigne. Entre elles toutes, autant d'amour que de ruptures, des éclairs comme les années passées à garder en soi ce que l'on n'a osé dire savent si bien en faire éclater. Agnès la timide, la douce, dont on voudrait qu'elle ressemble davantage à l'une et qui n'a pas la fougue de l'autre. Un jour, c'est elle pourtant qui passe la porte. Besoin d'air. Je vous aime, et c'est pourquoi je m'en vais, écrira-t-elle à ses sœurs à l'aube de ses dix-sept ans.

(sœurs d'asphalte) Après la maison confortable, la rue. Après une existence où le principal souci étaient les chamailleries familiales, voilà que les questions trivialement quotidiennes se font plus pressantes. La nourriture manque dans le ventre d'Agnès, qui finit par trouver dans la prostitution une issue à ses maux. Les premières fois sont difficiles, pourtant rapidement elle se fait à ce corps gagne-pain, et puis ça ne paie pas trop mal. Nous ne dépeindrons pas ici les jours sombres et ceux plus légers, les clients qui viennent et reviennent, parfois difficiles parfois tendres. Ce qui compte ici, la nouvelle famille qu'elle s'est choisie auprès des fleurs de macadam. Nouvelle venue dans le quartier, beaux vêtements et boucles soyeuses, on s'interroge d'abord sur cette femme à peine sortie de l'adolescence. Très vite, son silence autrefois moqué vaut ici qu'on l'adopte. Elle ne pose pas trop de questions, Agnès, elle se contente d'écouter, puis de lâcher quelques mots qui tombent toujours juste. Alors on la laisse s'installer, et le cœur des faubourgs s'éprend doucement d'une chaleur nouvelle.

(sœurs de robe) Agnès n'a pas suffisamment le sens du spectacle pour dire qu'un seul jour a changé sa vie. Si elle devait en choisir un malgré tout, ce serait sans doute celui-là - elle en a pourtant oublié la date. C'était il y a cinq ans ; le smog cet hiver-là avait décidé de s'abattre avec rudesse, et la clientèle se faisait rare. En cause aussi la légalisation des maisons closes, qui avaient l'avantage d'offrir aux clients davantage de confort (bien que parfois rudimentaire, à en croire les rumeurs). Passons : le fait est que le pain manquait et un froid humide venait s'insinuer jusqu'au plus profond des chairs.
Noir soudain. Au réveil, une lumière diaphane qui peint les visages en clair-obscur comme sur l'une de ces toiles des maîtres italiens, des bris de verre coloré, des femmes vêtues de longues toges d'un bleu intense, quelque part entre celui du ciel et de l'océan. On la soigne, on la lave, on la peigne. Et puis on lui explique, et tout ce qu'elle entend, c'est Dieu. C'est qu'elle pensait depuis longtemps disparu, une fable que l'on raconte aux enfants à l'heure de dormir. Elle apprend leur nom, aussi : les sœurs diaconesses, une communauté de religieuses protestantes qui ont fait vœu de servir toujours les autres. Ça lui plaît, à Agnès, et son esprit encore embrumé se dit que c'est peut-être là qu'a été sa place, toujours. Alors elle décide de croire et revêt la robe azur.


pseudo/prénom ◇ Mariko, eh oui c'est mon prénom. (je me cache sous terpsichore sur bazzart, parce que c'était joli) en quelques mots ◇ je suis balance, je ne porte pas de bretelles mais des chaussettes avec un lapin dessus, si si, je m'habille comme une enfant de dix ans et je parle parfois comme une vieille personne de quatre-vingt. Au cas où vous ne le sauriez pas encore j'aime beaucoup trop Adèle Haenel (regardez Portrait de la jeune fille en feu je vous en supplie). préférences de jeu ◇ fluctuante (certains diraient que je suis inconstante hinhin je vois pas pourquoi), j'écris généralement 400-700 mots et j'essaie de poster une fois par semaine minimum. comment as-tu connu le forum ? ◇ je vous jure j'ai rien fait je sais pas. le mot de la fin ◇  mes bien chères sœurs. (agnès) 2673447078


Dernière édition par Agnès Martel le Ven 8 Mai - 12:26, édité 38 fois
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Activité : absurde activité qui semble se battre légalement contre le couvre feu. puisqu'il le faut puisque si un jour quelqu'un va dans l'espace il faudra bien lui servir de phare alceste allume et éteint les réverbères tous les jours à heures fixes.
En société : petit prolétaire fonctionnaire qui fait ce qu'on lui dit tête basse. longtemps surveillé puisque huysmans l'état a bien vite décidé en riant qu'il n'avait pas la trempe ou les idées de ses parents et l'a laissé seul dans ses miasmes.
Organisation(s) : et pourtant alceste une fois l'attention d'état perdue s'est offert à l'ordre du plomb puisqu'il n'avait rien d'autre à apporter que lui.
Besace : clés allen, chiffons, allumettes, journal de son père, plumes cassées et rêves qui n'en sortent jamais

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Re: mes bien chères sœurs. (agnès)    Jeu 30 Avr - 15:29

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Activité : Religieuse, sage-femme, faiseuse d'anges - la sororité en étendard.
En société : Clandestine au quotidien, on tolère sa présence dans le monde comme une étrangeté, et puis on hausse les épaules et on poursuit son chemin.
Organisation(s) : la Tour de Babel, une évidence.
Besace : Quelques tracts de la Tour, des baumes et onguents de chez Marguerite et Fernande, sa coiffe qu'elle ne porte pas en public.

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Re: mes bien chères sœurs. (agnès)    Jeu 30 Avr - 17:12

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En société : petit prolétaire fonctionnaire qui fait ce qu'on lui dit tête basse. longtemps surveillé puisque huysmans l'état a bien vite décidé en riant qu'il n'avait pas la trempe ou les idées de ses parents et l'a laissé seul dans ses miasmes.
Organisation(s) : et pourtant alceste une fois l'attention d'état perdue s'est offert à l'ordre du plomb puisqu'il n'avait rien d'autre à apporter que lui.
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Re: mes bien chères sœurs. (agnès)    Jeu 30 Avr - 17:27

c bien aussi mes bien chères soeurs mes bien chères sœurs. (agnès) 84852486
j'adore le prénom.
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Re: mes bien chères sœurs. (agnès)    Jeu 30 Avr - 17:27

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